À propos du projet

Depuis 2009, Dätcha Mandala, c’est une “démo” 10 titres, 1 EP, un 45 tours et l’album « Rokh » en 2017 pour un total de 7000 disques vendus. Mais surtout plus de 550 concerts donnés dans 12 pays d’Europe et outre Atlantique (New York, Montreal). Les INSUS (Ex-Téléphone) après les avoir croisés au Festival de La Nuit de L’Erdre, les invitent sur 3 de leurs premières parties dont le prestigieux Stade de France devant plus de 35 000 personnes ! Louis Bertignac déclarera que « Dätcha Mandala est la relève du Rock en France » (RFI- 12/2018). Pour Philippe Manœuvre aussi « Le nouveau rock, c’est Dätcha Mandala… » (La Boite à Question/Canal+/Juin2019). Et pourtant, Nicolas, JB et Jérémy ne sont pas du genre à se soucier de ce qu’on pense d’eux, préférant aux louanges la recherche du meilleur équilibre pour leur musique influencée par l’effervescence des Seventies à nos jours. Dätcha Mandala est un voyage entre un rock heavy et puissant, une musique folk traditionnelle et quelques incursions tribales venues d’Orient ou encore d’Afrique du Nord.
Le nouvel album intitulé HARA (MRS Red Sound / L’autre distribution / Idol) sort le 5 juin. Il a été enregistré pour l’essentiel au magnifique Studio Black Box à Angers (The Kills, Klaxons…) à nouveau par Clive Martin (Queen, Tom Yorke, The Cure, etc.). En faisant ce choix pour ce disque, le groupe a cherché un son plus moderne alliant cette fois le meilleur des deux technologies : analogique et numérique. Aussi, en dehors de conserver son essence Rock, Blues, Folk et parfois tribale, cet album verra s’affirmer la contribution du groupe à l’éveil de la conscience écologique («Climate resilience is hard to believe When you look at all that man has done » Stick It Out), sujet éminemment contemporain, actuel et humain. « Le possible effondrement de notre société thermo-industrielle ne serait-il pas le résultat d’une profonde déconnexion de l’humanité avec son Hara ? » interroge le groupe.
On parlera d’amour aussi, de l’absence de l’être aimé (« Spend my every day prayers down on my knees » Missing Blues) et d’amour universel dans un ‘Queenesque’ « Morning Song », du piano au solo à la Brian May, tout y est pour se sentir bien « finally home », la ballade de l’album ; mais aussi de l’acceptation de soi, tel que l’on est (« So if you feel weak (sometimes, Just remind that you are strong, and that it’s time to release who you are ! » Who you are, dont les 1ères notes ont été enregistrées par Louis Bertignac dans son studio) et de reprendre la danse avec le délirant « Sick Machine » qui vous emportera vers la transe de « Moha », « chanson essentiellement composé de Mantras très anciens ou écrits pour l’occasion, traitant du rapport au divin, de notre connexion à l’Univers, de la part mystique de l’existence. » explique Nicolas. Il s’agira aussi de trouver en nous les réponses, est-on en paix avec nous-mêmes ? Est-on satisfait de notre mode de vie ?… Questions que le groupe se pose aussi dans le heavy tribal « Eht Bup ». Pour finalement ne pas résister à l’appel de la route « On The Road », celle qui nourrit les artistes, « No matter wich way you are going, with your soul never stop playing ». Pour conclure, «Pavot» est l’une des pièce les plus anciennes du groupe et c’est une invitation au « Lâcher-prise ». Revisitée au goût du jour pour aussi, de l’aveu du groupe, un peu botter des culs !
Dätcha Mandala : Nicolas Sauvey (Lead Vocal/Bass/Acoustic guitar/Harmonica), Jérémy Saigne (Lead Guitar and Vocals), Jb Mallet (Drums and Vocals)
Discographie :
Eden Sensuality – Demo – 01/05/2011 – Autoprod
Dätcha Mandala – EP – 10/03/2014 – Autoprod
Anâhata – 45t – 22/09/2016 – MRS Red Sound
Rokh – LP – 10/11/2017 – MRS Red Sound
Discographie

« HARA »
5 juin 2020 / MRS Red Sound / L’Autre distribution
Sur les internets
Kit presse
Contact
Yann Landry
06 66 56 09 19
yann.landry@latetedelartiste.com